1. Laisser couler ses larmes

Je suis venu à Medjugorje il y a trois ans, en septembre 1987.

J’ai passé dix-sept ans au Sénégal, retournant chaque année au Canada pour un court séjour. Cette année-là, à mon retour de Medjugorje, les gens m’ont demandé de leur parler de mon expérience. J’en ai parlé et de façon abondante. Aujourd’hui encore, il y en a qui m’écrivent pour demander des informations sur Medjugorje.

Les gens à qui j’en ai parlé vivent dans un petit séminaire. C’est ainsi que plusieurs prêtres, grands séminaristes juvénistes, ainsi que des religieuses et religieux continuent de s’informer au sujet de Medjugorje.

Cette année, me revoilà à Medjugorje et, pour moi, c’est un sommet. Évidemment tout ce qui s’est passé hier sur le mont Krizevac et ensuite avec Marija, le soir, lors de l’apparition, je l’ai vécu intensément. C’était la première fois que j’assistais à une apparition.

Aujourd’hui, ça a été encore le sommet puisque j’ai découvert encore plus l’importance, la puissance et l’efficacité de la prière. Au moment où le père franciscain parlait, la Sainte Vierge m’a sûrement confirmé d’une façon tout à fait spéciale sa présence : mes larmes se sont mises à couler juste au moment où on parlait de l’efficacité de la prière et comment avec le chapelet une jeune fille avait pu convertir son père et libérer son frère de la drogue. Je ne m’attendais pas à cette avalanche de bienfaits, mais à un moment donné, tout simplement les larmes ont coulé de mes yeux et pendant au moins cinq minutes je les ai laissé couler. 

Je remercie la Vierge Marie, je vous remercie tous et, si je peux, je reviendrai. C’est formidable !